Kaléidoscope en evolution
En 1996, je faisais partie d’un groupe d’artistes de la Galerie Verticale, Art Contemporain à la Ville de Laval (Québec). Nous travaillions et planifions nos oeuvres en présence de violonistes, en relation avec leur musique.
Cet environnement m’a amené à poursuivre mon intérêt d’asssocier le son à la couleur, et à continuer mes recherches sur la géométrie, la couleur, et l’illusion. Il m’a permis en même temps, de travailler plus profondément sur les relations entre les deux dimensions de la peinture et les trois dimensions de la sculpture.
Le premier produit de cette longe série, “Notation pour l’improvisation musicale”, était composé de trois pyramides triangulaires, formées chacune de trois panneaux triangulaires peints en acrylique des deux côtés. Pour retenir les panneaux, j’ai utilisé des bâtons et des attaches à chaque coin.
Afin de mettre l’accent sur la couleur, j’ai limité l’élément de la forme à un seul motif géométrique, un hexagone que j’utilise depuis des années.
C’est une oeuvre interactive. Tous les panneaux sont interchangeables.
Il en résulte des illusions d’optique dont les examples les plus frappants se retrouvent dans les photos prises à partir de points de vue spécifiques.
Une période d’expérimentation sur la possibilité d’autres structures commençait.